Actualités du CSFL

Retrouvez toute l’actualités du Centre de Sauvegarde de la Faune Lorraine

Et si vous rejoigniez l’équipe du CSFL en tant que médiateur faune sauvage !

Et si vous rejoigniez l’équipe du CSFL en tant que médiateur faune sauvage !

Et si vous rejoigniez l’équipe du CSFL en tant que médiateur faune sauvage !

Et si vous désirez devenir acteur(rice) du bien être de la biodiversité !

Nous avons deux places en service civique de 7 mois, envoyez nous votre candidature à contact@csfl.fr.

Vous participerez et accompagnerez l’équipe dans les missions suivantes:

-Accueillir les animaux et les découvreurs.

-Conseiller les découvreurs d’animaux en détresse.

-Conseiller le public pour une bonne cohabitation entre l’homme et l’animal.

-Informer et répondre au public par téléphone, par mail et sur les réseaux sociaux 

-Élaborer des fiches techniques de médiation.

La saison des naissances est en plein boom !

La saison des naissances est en plein boom !

La saison des naissances est en plein boom !

Nous recevons plusieurs dizaines d’appels téléphoniques par jour pour la découverte d’oisillons trouvés en détresse ou blessés.
Nous ne sommes pas en mesure de faire face à cette sur-sollicitation par manque d’effectif;
Néanmoins, pour tenter de trouver des solutions, merci d’utiliser notre email : contact@csfl.fr en indiquant vos coordonnées et en ajoutant des photos de l’oisillon.
Il nous est plus facile de répondre en différé.
En attendant, vous pouvez placer la nichée dans une carton, percé de trous, dans un endroit calme. Ne pas tenter de donner à manger et à boire.
Merci de votre compréhension.
L’équipe CSFL
Pourquoi il ne faut pas déplacer les petits lièvres ?

Pourquoi il ne faut pas déplacer les petits lièvres ?

Pourquoi il ne faut pas déplacer les petits lièvres que l’on croise sur notre chemin.
Les levrauts naissent les yeux ouverts et déjà couverts de poils, donc à même de maintenir leur température corporelle par eux-mêmes.
Leur mère, la hase, ne creuse pas de terrier pour cacher ses petits. Elle les répartit ça et là, à même le sol, plus ou moins cachés par les éléments du paysage.
Sa stratégie, afin qu’ils ne soient pas repérés par les prédateurs, est de ne leur rendre que furtivement visite pour les allaiter. Le reste du temps, le levraut se tient tranquille et discret, sans bouger.
Il est donc tout à fait normal de trouver un jeune lièvre seul, sans sa mère, et blotti au sol. Il ne faut surtout pas le déplacer, sa mère continue de venir le nourrir là où il est. Il faut aussi s’en éloigner le plus rapidement possible afin de ne pas attirer l’attention de ses prédateurs ni d’effrayer la mère si elle revient alors que vous êtes là.
Dans le cas exceptionnel où le petit se trouve sur la route, vous pouvez utiliser de grosses touffes d’herbe pour le déplacer sans le toucher directement avec vos mains. Déplacez-le hors de la route, mais pas trop loin, de manière à ce que la mère le retrouve facilement quand elle reviendra le nourrir.
Hormis ce cas rare ou une évidente détresse telle qu’une blessure avec hémorragie ou la découverte d’une hase morte à proximité, il ne faut pas déplacer le petit lièvre. Même pour l’emmener en centre de soins : ses chances de survie sont inférieures s’il doit être élevé par l’humain plutôt que par sa mère, et il prend inutilement une place en soins, alors que d’autres animaux réellement en détresse en ont besoin.
Si vous avez un doute sur la situation, n’hésitez pas à contacter l’un des 4 centres du Grand Est le plus proche de chez vous :
– Pour le Nord du Bas Rhin et l’Est de la Moselle, contactez le GORNA au 03 88 01 48 00
– Pour le Sud du Bas Rhin et le Haut Rhin, contactez la LPO Alsace au 03 88 22 07 35
– Pour la Moselle, la Meurthe-et-Moselle, les Vosges et la Meuse, contactez le CSFL au 09 70 57 30 30
– Pour la Champagne- Ardenne, contactez le CPIE Sud Champagne au 03 25 92 56 02
Amphibiens : La saison des amours est lancée du samedi 26 février au samedi 8 avril

Amphibiens : La saison des amours est lancée du samedi 26 février au samedi 8 avril

C’est au mois de mars que renaît le printemps avec le vol des premiers papillons et le fleurissement des fleurs sauvages. C’est aussi la saison que choisissent les amphibiens pour rejoindre les points d’eau après leur hibernation. La route n’est pas sans danger pour eux !

Voici comment sauvegarder ces espèces menacées lors de leurs déplacements nocturnes.

Faciliter le déplacement des amphibiens

Les amphibiens sont des animaux vulnérables en raison de leur mode de vie. Ces animaux à sang froid dépendent des petits plans d’eau douce que sont les mares. Or ces zones humides disparaissent de nos régions, remblayées, polluées ou asséchées par l’Homme.

Pourquoi les amphibiens se déplacent-ils ?

Les amphibiens se caractérisent par une phase de vie aquatique puis une phase de vie terrestre. Ils débutent leur vie sous la forme d’une larve aquatique, qui se métamorphose plus tard en adulte.

Les crapauds, les grenouilles, tritons et salamandres entreprennent des déplacements plus ou moins longs entre l’aire d’hivernage et l’aire de reproduction, de fin février à fin mars. La migration des adultes a lieu généralement la nuit..

Les dangers de la migration

Au cours de leurs déplacements, les amphibiens rencontrent des obstacles qu’ils ne peuvent pas franchir (ex : murs). D’autres obstacles constituent par ailleurs des pièges mortels : il s’agit des  infrastructures sur lesquelles les animaux se font écrasés (routes, autoroutes ou voies ferrées),

Opération de sauvetage, organisée par le CSFL et le Conseil Départemental 54

Accompagnés de Sabine NESSUS, des bénévoles des communes environnantes, ont aidé à l’installation d’un barrage pour recueillir les amphibiens. Le but de celui-ci, étant de stopper temporairement tout ce petit monde.Ce barrage temporaire pour les amphibiens a été installé sur le territoire de la commune de Haucourt-Moulaine (Nord du 54).

Cette opération annuelle, se déroule sous légide du Conseil Départemental de Meurthe et Moselle et l’organisation de l’opération au Centre de Sauvegarde de la Faune en Lorraine de Valleroy.

Sauver des vies

Sauver des vies, est notre préoccupation quotidienne au CSFL. La protection de la faune de notre Région et la préservation du patrimoine naturel du territoire porte ses fruits d’année en année. Notre action aura permis de déplacer en toute sécurité pas moins de 827 Crapauds communs (453 mâles et 374 femelles). Félicitations à toutes et tous, pour votre engagement dans cette cause.

Percutée par une voiture, elle se remet de ses blessures

Percutée par une voiture, elle se remet de ses blessures

Percutée par une voiture, elle se remet de ses blessures
Cette magnifique Buse Variable, de phase claire, se remet tout doucement d’une collision avec une voiture.
Un tel choc lui a occasionné de multiples contusions et quelques troubles neurologiques. Elle a dû être suivie pendant quelques jours pour assurer sa survie.
Aujourd’hui, elle a pu être placée dans une volière pour entamer sa rééducation au vol.
Elle devrait bientôt retrouver la liberté.
Les Buses Variables peuvent avoir des couleurs très sombres à très claires (d’où leur appellation Variable…). On peut les voir poser le long des routes en attente de sortie d’un campagnol ou d’un ver de terre. « Avec ces temps humides, le ver de terre est une proie pour de nombreuses espèces dont les rapaces. »
Elles peuvent passer des heures au même endroit. Elles chassent à l’affut.
Par temps froid, elles gonflent leur plumage pour gagner en chaleur d’où cette apparence de grosse boule.
Les bords de routes offrent justement de bonnes cachettes pour les rongeurs.
Leur vol nonchalant ne leur permet pas d’esquiver rapidement des véhicules. Elles se font happer parfois par le souffle des camions.
Prenez le temps de les observer en réduisant votre vitesse.
Rejoignez nous !

Rejoignez nous !

Rejoignez nous !
Nous recherchons plusieurs services civiques pour la saison 2022.
Pour postuler, il faut être âgé de 18 à 25 ans.
Site de la mission : Valleroy (54)
Particularités des missions:
Travail en extérieur
Rapport limité aux animaux (car sauvages et protégés, contraintes liées au maintien du bien être et de l’hygiène de la captivité des animaux)
2 types de mission :
Mission soins faune sauvage pour une durée de 8 mois avec des dates en Mars et Avril
Objectif: aider la faune sauvage et trouver une solution aux personnes dans le désarroi face à un animal en détresse.
Vos actions :
Participation au nourrissage, l’entretien et les soins des diverses espèces accueillies. Participation à l’entretien des locaux et des structures extérieures .
Suivi des animaux relâchés par émancipation progressive.
Participation aux activités annexes de l’association (tenue de stand, rédaction d’outils de communication,…).
Mission médiation faune sauvage pour une durée de 7 mois avec une date en Avril :
Objectif :Trouver des solutions aux problématiques de cohabitation entre l’Homme et l’animal dans un souci de conservation de la biodiversité.
Vos actions :
Apporter des réponses aux particuliers et aux collectivités, concernant la faune sauvage et sa cohabitation avec l’Homme, la découverte d’animaux sauvages en détresse, et des renseignements divers par téléphone et par e-mail.
Rechercher des bénévoles et des particuliers disponibles pour le rapatriement d’animaux.
Participer à des évènements auprès du grand public et de nos partenaires/collectivités.
Accueillir les découvreurs lors de la prise en charge d’un animal en détresse.
Retrouvez ci-dessous les missions publiées sur le site du Service Civique :
Soins faune sauvage à partir de mars 2022 :
Soins faune sauvage à partir d’Avril 2022 :
Médiation faune sauvage à partir d’Avril 2022 :
Recrutement écovolontaires

Recrutement écovolontaires

Recrutement écovolontaires
Le Centre de Soins de la Faune en Lorraine (CSFL), situé à Valleroy(54), propose des missions d’écovolontariat, de 1 à 2 mois, du mois d’avril à fin août.
Durant cette période, une grande quantité de jeunes oiseaux et mammifères sont reçus au centre de soins et nécessitent un suivi important.
Votre mission consistera, sous la supervision d’un soigneur, à participer aux différentes activités de nettoyage, à la préparation de la nourriture ainsi qu’au suivi des animaux reçus au centre.
Suivant les plannings, il pourra vous être proposé de venir travailler les week-ends.
Intéressé(e) ?
Alors, merci d’adresser votre candidature à : info@csfl.fr
Merci au Groupe FB « Oiseaux libres comme l’air : partages ornithologiques »

Merci au Groupe FB « Oiseaux libres comme l’air : partages ornithologiques »

Toute l’équipe du CSFL tient à vous remercier du généreux don que votre groupe FB « Oiseaux libres comme l’air : partages ornithologiques » vient de nous attribuer.
En effet, le Centre de Sauvegarde de la Faune en Lorraine (CSFL) accueille annuellement plus de 1 500 oiseaux blessés ou en détresse (soit plus de 72% des accueils du centre).
Nous attachons beaucoup d’importance dans les soins que nous leur apportons chaque jour. Nos efforts sont récompensés, car plus de 75% des oiseaux en détresse que nous réceptionnons sont relâchés.
La notoriété du CSFL se construit un peu plus chaque année et notre réseau de bénévoles transporteurs qui s’étale sur 5 départements est de plus en plus important également.
Notre capacitaire et son équipe de soigneurs aidés par des bénévoles, s’investissent beaucoup pour élever et soigner tous les oiseaux et animaux que nous avons dans notre structure de soins.
Nos 2 pôles : animation et médiation à la faune sauvage, contribuent à la réussite de ces sauvetages et au développement de notre réputation.
Ce don, nous permettra de compléter notre palette d’outils pour améliorer la qualité de nos soins
Le CSFL est en pleine mutation actuellement. La construction d’un grand espace de soins pour la faune sauvage est actuellement en étude.
En attendant ce grand évènement, nous vous inviterons à venir procéder au relâcher d’ un oiseau par vos soins après la période hivernale (date à convenir ensemble). C’est un moment d’émotion à vivre car ils redeviennent « libres comme l’air » !!!
Des espèces accidentelles en Lorraine

Des espèces accidentelles en Lorraine

Des espèces accidentelles en Lorraine
Ces dernières semaines, nous avons eu la surprise de devoir prendre en charge des espèces absentes de Lorraine.
Ainsi, ce beau reptile de la famille des Gecko, la Tarente de Mauretanie, bien présente sur le pourtour méditerranéen, s’est retrouvée prisonnière dans une pile de cartons, en provenance d’Espagne.
Il en est de même pour cette rainette méridionale, trouvée dans un bouquet de plantes, transportée en Lorraine. Elle vit dans le sud de la France.
Ces 2 espèces sont protégées.
Elles n’auraient pas survécu au climat lorrain.
Nous les avons pris en charge et nous allons prochainement trouver une solution pour les relâcher dans leurs contrées d’origine.
Merci à la vigilance des personnes qui les ont découvertes et qui nous ont contactées pour tenter de les sauver.
Bonne année 2022

Bonne année 2022

Toute l’equipe du CSFL vous souhaite une bonne et heureuse année 2022 !
Nous restons toujours déterminés à œuvrer au profit de la biodiversité à travers nos actions et nos projets.
N’hésitez pas à nous rejoindre, à nous soutenir.
FR3 Lorraine : un bel article sur notre projet d’évolution

FR3 Lorraine : un bel article sur notre projet d’évolution

Nous sommes victimes de notre service au profit de la biodiversité. Nous accueillons chaque année de plus en plus d’animaux blessés ou en détresse.

Mais nos équipes et nos infrastructures ne peuvent plus faire face à cette hausse d’activités.

Dans le cadre de notre projet associatif, nous avons dû plancher sur une évolution de notre organisation vers un innovant Pôle d’Etude, de Secours et de Réhabilitation de la Faune sauvage.

Retrouvez l’article via le lien ci-joint : https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/meurthe-et-moselle-un-projet-d-hopital-de-la-faune-sauvage-pour-mieux-soigner-les-animaux-blesses-2352901.html

Merci à FR3 Lorraine et à ses équipes

Communiqué – Epizootie de grippe aviaire

Communiqué – Epizootie de grippe aviaire

Communiqué du CSFL (Grippe aviaire H5N1) le 22.11.2021
Nous sommes face à une situation sanitaire sans précédent suite aux récentes découvertes de grippe aviaire H5N1 sur le Lac de Madine et sur la Réserve de Lachaussée.
Une mortalité importante de la faune sauvage a été constatée par les agents de l’OFB sur ces secteurs proches du centre de soins.
Dans ce cas de force majeure, nous sommes contraints de ne plus accueillir d’oiseaux, à partir de ce jour et jusqu’à nouvel ordre.
Alexandre PORTMANN
Responsable capacitaire du CSFL
Retour en terre connue pour ce Hibou Grand Duc

Retour en terre connue pour ce Hibou Grand Duc

Retour en terre connue pour ce Hibou Grand Duc
Du haut de ses 70 cm, cette femelle Hibou Grand Duc contemple de nouveau son vaste territoire. Elle a passé 35 jours au centre après avoir été retrouvée au sol, dans une cour. Que s’est il passé ? Nous ne le saurons jamais.
Mais grâce à une belle chaîne de solidarité, le rapace est rapidement transféré dans une clinique vétérinaire partenaire. Les radiographies ne montrent aucune lésion.
Rapatriée au centre, la femelle Hibou grand Duc sera suivie et placée dans une volière de réadaptation.
En pleine forme, elle retrouve aujourd’hui son site et s’approprie rapidement ses perchoirs préférés. Des chants sont lancés et l’ombre d’un autre individu apparaît. Le couple est il reformé ?
C’est avec une grande émotion que nous quittons les lieux avec cette fierté du travail accompli mais aussi comme la récompense de toutes ces années à faire connaître notre action aux 4 coins de la Lorraine.
Sur notre chemin, nous avons eu la chance de rencontrer Didier BUHARU de la Fondation UEM qui nous a quitté récemment. Il avait foi en nos valeurs et il nous a permis de réaliser de beaux projets. Par ce magnifique relâcher, nous souhaitions lui rendre hommage car il y a un peu de lui dans cette réussite. Merci Didier.
Chouette effraie

Chouette effraie

Elle est le rapace nocturne le plus connu car elle habite au plus près des Hommes. La Chouette Effraie occupait généralement les clochers de nos églises (aujourd’hui souvent grillagés pour éviter la nidification des pigeons des villes). Heureusement, des projets de mise en place de nichoirs lui ont permis de pouvoir réinvestir ces édifices. Sinon, granges, vieilles bâtisses ou parfois greniers lui offrent des caches pour pouvoir élever ses jeunes.
Son cri « déchirant » et sa couleur blanchâtre sont à l’origine de son nom. Pourtant, elle arbore une magnifique tête en forme de cœur ♥️ .
La disponibilité en ressources alimentaires est un facteur important dans la biologie de l’espèce. Ainsi, en présence de nombreux rongeurs sur son territoire, la Chouette Effraie va entreprendre sa nidification. Le temps sec des dernières semaines a permis aux micro mammifères d’être plus présents. Nous avons ainsi recueilli de toutes jeunes chouettes suite à des travaux de rénovation.
Mais elle est souvent victime de collisions avec des véhicules ou autres éléments d’infrastructures humaines (vitres, barbelés, …). La Chouette Effraie chasse surtout à l’ouïe et vole donc à faible hauteur. Les abords des routes deviennent alors des pièges surtout quand les journées raccourcissent et que les heures de pic routier coïncident avec les périodes de chasse.
Nous accueillons actuellement des oiseaux avec de nombreuses fractures ou autres traumatismes.
Et la période hivernale ne fait que commencer…
La plantation de haies le long des routes permettrait aux chouettes et autres rapaces nocturnes de prendre de la hauteur par rapport à la chaussée et limiter les collisions.
Égaré en pleine migration, ce jeune Blongios Nain a été relâché

Égaré en pleine migration, ce jeune Blongios Nain a été relâché

Égaré en pleine migration, ce jeune Blongios Nain a été relâché
Peu de personnes ont l’occasion de connaître cet oiseau..
Ce petit Héron, le plus petit de la famille, est très rare en Lorraine. De plus, il vit discrètement dans les roselières. Il y construit son nid et y trouve sa nourriture (amphibiens, crustacés, insectes, petits poissons, …). Migrateur, il entreprend un long voyage vers les zones subsaharienne.
Cet oiseau arbore son plumage de jeune de l’année. Il a été trouvé sur un parking, perdu, déboussolé. Parfois, les conditions humides comme le brouillard trompent les oiseaux aquatiques en reflétant le bitume comme des étendues d’eau… Ils s’y posent et se trouvent totalement sans repères.
Le jeune Blongios Nain a été trouvé et recueilli, très amaigri.
Nous l’avons nourri et surveillé pendant plus de 11 jours.
Requinqué, Il a ensuite été relâché en compagnie d’un agent de l’OFB (Office Français de la Biodiversité) sur un site favorable à l’espèce, sous gestion de l’Office.
Souhaitons une bonne migration à cette merveille de la Nature

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