Actualités du CSFL

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LES ANIMAUX SE PRÉPARENT À PASSER L’HIVER… ET SI ON LES AIDAIT ?

LES ANIMAUX SE PRÉPARENT À PASSER L’HIVER… ET SI ON LES AIDAIT ?

LES ANIMAUX SE PRÉPARENT À PASSER L’HIVER… ET SI ON LES AIDAIT ?
Ça y est, les premières feuilles de l’année commencent à tomber, la forêt se pare de sa belle couleur rouge-orangée, les nuits se rafraichissent, les journées raccourcissent… L’automne est bel et bien installé ! Les animaux s’affairent : c’est la dernière ligne droite pour faire leurs réserves avant le grand froid.
Et si on leur donnait un petit coup de main ? Voici quelques idées simples à mettre en place dans votre jardin.
Côté mammifères :
• Construire un abri à hérissons : du plus simple (un tas de feuilles mortes ou de branchages) au plus complexe (cabane à hérisson), il lui garantira un endroit où hiverner. Le petit plus : étaler des feuilles mortes partout autour pour qu’il réaménage l’abri à sa guise.
• Créer des espaces de passage dans sa clôture : trop d’animaux finissent coincés dans les mailles d’un grillage… faites des trous à certains endroits pour faciliter leur circulation.
Côté oiseaux :
• Poser une mangeoire : à remplir de graines de tournesol lors de la première gelée (et ne plus l’alimenter lorsque les dernières gelées seront passées). Nettoyer une fois par semaine au vinaigre ménager.
• Un point d’eau : on place une petite coupelle et on veillera à renouveler l’eau tous les jours. Nettoyer une fois par semaine au vinaigre ménager. Pensez également à mettre une rampe (grosse pierre, petite planche…) pour que votre coupelle ne devienne pas un mouroir à insectes.
• Attention au moment de tailler sa haie : les merles et les rougegorges adorent s’y cacher, soyez vigilants !
Côté insectes :
• Construire un hôtel à insectes : on en trouve de toutes sortes sur internet, mais de simples buches trouées peuvent très bien faire l’affaire ! Le petit plus : offrir le gîte, d’accord… et le couvert ? Laissez pousser les herbes tout autour pour offrir aux petites bêtes un véritable garde-manger. Au printemps, n’hésitez pas à planter des espèces mellifères locales aux abords de votre hôtel à insectes. La flore aussi mérite un petit coup de… pousse.
Côté reptiles :
• Faire un tas de briques ou de pierres : l’abri favori des lézards et serpents pour hiverner !
Et si je trouve un animal en détresse ?
Contactez le centre de sauvegarde le plus proche de chez vous. Pour le Grand Est :
– Nord du Bas-Rhin et Est de la Moselle : contactez le GORNA au 03 88 01 48 00
– Sud du Bas-Rhin et Haut-Rhin : contactez la LPO Alsace au 03 88 22 07 35
– Nord-Ouest de la Moselle, Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges : contactez le CSFL au 09 70 57 30 30
– Champagne-Ardenne : contactez le CPIE Sud-Champagne au 03 25 92 56 02
ARRÊT DE LA PRISE EN CHARGE DES OISEAUX

ARRÊT DE LA PRISE EN CHARGE DES OISEAUX

⚠️ ARRÊT DE LA PRISE EN CHARGE DES OISEAUX ⚠️
Nous faisons actuellement face à de nouvelles normes sanitaires concernant la prise en charge des oiseaux au centre.
Pour la sécurité de nos animaux, nous sommes contraints de fermer temporairement les entrées des oiseaux afin d’éviter tout risque de contamination. Pour autant, nous accueillons toujours les mammifères au sein de notre structure.
Pour tout renseignement, nous restons bien évidement à votre disposition.
Notre partenaire : Animal Clinic

Notre partenaire : Animal Clinic

Partenaire du Centre de Sauvegarde de la Faune Lorraine, les équipes d’Animal Clinic, de Norroy le Veneur, apportent tout au long de l’année des soins à des animaux sauvages 🦅
📍Face à un animal sauvage blessé, avant toute intervention, n’hésitez pas à joindre le Centre au 09.70.57.30.30
Le jeune Autour des Palombes a été relâché

Le jeune Autour des Palombes a été relâché

Le jeune Autour des Palombes a été relâché
Fin heureuse pour ce jeune rapace, trouvé blessé sur un parking. Son plumage révèle que c’est un oiseau né cette année. Il est donc contraint de se chercher un nouveau territoire. Les parents l’éloignent peu à peu de son territoire de naissance. De plus, Il doit apprendre seul et perfectionner ses techniques de chasse. Beaucoup de jeunes périssent durant leur première année.
Il devait être en action de chasse dans cet environnement urbanisé qui n’est pas son milieu de vie.
L’Autour des Palombes vit principalement dans les grands massifs boisés. Ses larges ailes arrondies aidées par une longue queue font de lui un excellent voltigeur parmi les arbres et les branches.
Il surprend ainsi ses proies qui vont des oiseaux jusqu’à la taille des corvidés (corneilles, corbeaux,…) voire à des rapaces (chouettes, faucons) mais également des mammifères ( écureuils, lapins,…). Il supervise un grand territoire et éloignera sans ménagement les individus de son espèce.
On l’observe moins rarement que l’Epervier d’Europe qui lui ressemble mais en plus petit. La population lorraine est mal connue mais ce n’est pas une espèce très commune. Son observation est toujours furtive et rapide mais procure toujours un réel plaisir.
L’équipe de soins a pu résorber son hématome et sa luxation.
Il a pu recouvrer la liberté et a filé à toute allure.
Le chat sauvage d’Europe, le félin sauvage de nos contrées

Le chat sauvage d’Europe, le félin sauvage de nos contrées

Le chat sauvage d’Europe, le félin sauvage de nos contrées 😼
Le chat sauvage d’Europe, aussi connu sous le nom de chat forestier (Felis silvestris silvestris), est une espèce rare et protégée. La disparition des forêts, son milieu de vie, en est l’une des causes principales. Cette espèce de chat ressemble fortement à notre chat tigré domestique. Pourtant, il n’adopte pas du tout le même comportement, puisqu’il s’agit bien d’un animal sauvage. Extrêmement farouche, il vit principalement la nuit ou au crépuscule. Il est donc très difficile, voire impossible à repérer. Pouvant mesurer de 50 à 80 cm pour un poids de 8 kg, cette espèce de chat, bien que court sur pattes, peut atteindre 40 cm de hauteur.
Pour ne pas le confondre avec son cousin domestique, il faut observer la robe de l’animal. Son pelage ne présente pas tout à fait les mêmes rayures, plus éparses sur l’ensemble de son corps. Elles sont plus larges au niveau de sa tête, de son cou et de ses épaules, mais sont absentes sur l’avant de ses pattes. Une autre différence observable est au niveau de sa queue, beaucoup plus touffue et sans la ligne noire continue qui la traverse.
Comme dit plus haut, le chat sauvage n’a rien à voir avec le chat domestique et même s’il peut y ressembler physiquement, il ne faut en aucun cas chercher à l’apprivoiser. Il faut savoir que tout animal sauvage imprégné, ne peut être relâché dans la nature, son milieu de vie. Il n’adoptera plus le comportement de ses congénères et ne pourra plus se reproduire, voir même se nourrir. Pour le bien des animaux sauvages, il est donc impératif de ne pas chercher à le domestiquer.
Tous les jours de nombreux animaux sont pris en charge par le centre et nécessitent des soins. Ceux-ci représentent des ressources financières conséquentes (médicaments, nourriture…). Nous remercions les donateurs qui permettent à notre équipe de prendre soin de ces animaux. Si vous souhaitez vous aussi faire un don déductible des impôts, n’hésitez pas à cliquer sur ce lien : https://www.csfl.fr/adhesions-et-dons-csfl/ ou à participer à notre
Une jeune fouine victime d’une voiture

Une jeune fouine victime d’une voiture

Une jeune fouine victime d’une voiture
Nous avons recueilli une jeune fouine percutée par une voiture. Ce mammifère carnivore fait partie de la famille des mustélidés. Le blaireau, le putois ou encore la belette en sont les exemples les plus connus en France.
Malencontreusement connue pour les nuisances qu’elle peut causer (dégâts dans les poulaillers ou bien encore dans les greniers), la fouine s’avère tout de même très utile pour l’élimination des rongeurs, ses proies favorites. Il est intéressant à savoir que durant l’Antiquité, cet animal était domestiqué pour chasser les animaux nuisibles des habitations, notamment les rats ou les serpents.
Vive et très curieuse, elle adore visiter chaque cavité (d’ailleurs, son comportement est à l’origine de l’expression « fouiner » 🤓). On peut l’apercevoir escalader un mur ou sortir d’une bouche d’égout.
Faute de proies, elle va se rassasier de fruits, baies ou graines. Nous avons une fouine qui venait manger tous les soirs des graines de tournesol dans la mangeoire que nous avions installé au Centre de sauvegarde.
En cette période de l’année, les jours commencent à se raccourcir et la nuit tombe de plus en plus tôt. Les animaux ne changent évidemment pas d’heure et se retrouvent donc confrontés à une circulation plus dense. Beaucoup de nocturnes sont percutés par des voitures, n’étant pas habitués à croiser autant de véhicules sur leur chemin.
Laissons donc une chance aux fouines en leur offrant un environnement avec des tas de bois ou de vieux arbres. Elles rendront de grand service à la biodiversité.
L’Autour des Palombes

L’Autour des Palombes

L’Autour des Palombes
Souvent confondu avec l’épervier, il est pourtant deux fois plus grand et peut se différencier au stade juvénile, par son plumage strié en dessous en forme de gouttelettes ou de petits cœurs.
L’autour des palombes vit essentiellement dans les grands espaces forestiers. Vif et fougueux, il utilise ses larges ailes arrondies et sa longue queue pour virevolter à vive allure entre les arbres et branchages. Opportuniste, il intervient comme un grand prédateur et ses proies sont très diverses allant des petits mammifères aux gros oiseaux comme les rapaces.
Les corneilles le craignent et alertent bruyamment dès qu’elles l’aperçoivent.
En cette période de l’année, beaucoup de jeunes oiseaux sont en quête d’un nouveau territoire. Dans leur découverte de ce monde en solitaire, ils apprennent encore la chasse mais aussi la cohabitation entre espèces et congénères. Ceci donne parfois lieu à des maladresses et des collisions qui peuvent avoir des conséquences plus ou moins graves sur l’animal. Ce jeune autour des palombes blessé a justement été accueilli récemment au centre pour ces raisons.
Chaque jour, le centre accueille de nombreux animaux dont la prise en charge peut s’avérer coûteuse (médicaments, nourriture…). Nous remercions tous les donateurs qui permettent à notre équipe de prendre soin de ces animaux. Si vous souhaitez vous aussi faire un don déductible des impôts, n’hésitez pas à cliquer sur ce lien : https://www.csfl.fr/adhesions-et-dons-csfl/ ou à participer à notre cagnotte Leetchi : https://www.leetchi.com/c/csfl
Pourquoi faut-il intervenir si on trouve un martinet noir au sol ?

Pourquoi faut-il intervenir si on trouve un martinet noir au sol ?

Pourquoi faut-il intervenir si on trouve un martinet noir au sol ?
Comme tous les étés, plusieurs villes et villages du Grand Est ont eu la chance d’accueillir, entre les mois d’avril et de juillet, des martinets noirs. A ce jour, la plupart des individus adultes ont déjà entrepris leur trajet retour vers l’Afrique, mais quelques retardataires peuvent encore être aperçus.
L’année 2022 est plutôt compliquée pour les martinets. Le manque d’eau a mis à mal les populations d’insectes volants et a contraint les adultes à parcourir de plus grandes distances pour trouver la nourriture indispensable pour nourrir leurs progéniture. Sans compter les vagues de chaleur successives qui provoquent à chaque fois la chute de jeunes ayant trop chaud sous les tuiles. Le tout cumulé à une reprise de l’activité des entreprises du bâtiment qui a favorisé des dérangements importants lors des travaux de rénovation…
Le mode de vie des martinets est en effet très particulier : ils arpentent sans relâche le ciel à la poursuite des divers insectes volants qui composent leur régime alimentaire. Le seul moment où un adulte se pose est lorsqu’il se reproduit et élève ses jeunes. Par conséquent, il est complètement anormal de trouver un Martinet au sol, quelque soit son âge. Ces situations n’arrivent qu’aux jeunes qui ratent leur premier envol ou aux adultes qui se retrouvent affaiblis.
La météo s’annonce de nouveau compliquée ces prochaines jours, et si vous deviez être confrontés à une telle situation, il est nécessaire d’agir en urgence : contactez un centre de sauvegarde, qui saura vous expliquer comment mettre l’animal à l’abri le temps que vous puissiez le rapatrier. Ne vous improvisez pas soigneurs, ces espèces sont trop fragiles. Et surtout, ne les jetez pas en l’air comme le conseillent certains sites internet douteux !!
Pour la région Grand-Est, la liste des centres ci-dessous :
Pour le Nord du Bas Rhin et l’Est de la Moselle, contactez le GORNA au 03 88 01 48 00
Pour le Sud du Bas Rhin et le Haut Rhin, contactez la LPO Alsace au 03 88 04 42 12
Pour la Moselle, la Meurthe et Moselle, les Vosges, la Meuse et une partie des Ardennes, contactez le CSFL au 09 70 57 30 30
Pour l’Aube, la Marne, la Haute-Marne, une partie de la Meuse et des Ardennes contactez le CPIE Sud Champagne au 03 25 92 56 02
Protection des nichées de Busard Cendré, une des dernières action de terrain de Lorraine

Protection des nichées de Busard Cendré, une des dernières action de terrain de Lorraine

Protection des nichées de Busard Cendré, une des dernières action de terrain de Lorraine
Pourquoi mettons nous toute notre énergie à protéger ces nichées ? Parce que sans ces interventions, ce rapace disparaîtra bientôt de nos contrées. En permettant l’envol de jeunes, nous contribuons à maintenir l’espèce en vie en renforçant sa population.
Parce qu’il niche au sol, aujourd’hui dans des champs de céréales (Orge et blé principalement), le Busard Cendré est dépendant du travail des moissons pour espérer l’envol de ses nichées et jeunes. Sans notre intervention, plus de 90 % des nids seraient moissonnés. Et la population ne serait plus assez forte pour subsister.
De son arrivée de migration fin avril à début mai jusqu’à l’envol des dernières nichées parfois début Août, nous parcourons le vaste territoire du Nord Meusien (secteurs Étain – Spincourt – Fresnes en Woëvre) pour prospecter, repérer et localiser les couples nicheurs, entrer en contact avec les agriculteurs propriétaires des parcelles, poser les cages de protection, suivre l’évolution des nichées et assurer le retrait des cages après l’envol de tous les jeunes.
Une formidable et intense aventure humaine et naturaliste qui nous a permis cette année de recenser une vingtaine de couples et surtout permettre l’envol de plus de 41 jeunes ! Nous tenons à remercier l’ensemble des agriculteurs qui nous ont tous aidés à assurer ce superbe résultat.
Et ce malgré des conditions climatiques exceptionnelles et très très difficiles , avec parfois plus de 45 degrés dans les plaines céréalières.
Un grand merci à la municipalité de Spincourt qui nous a réservée, comme chaque année depuis 36 ans !, l’emplacement du Trou du Zouave, où durant plus d’une semaine nos amis belges de l’association De Torenvalk viennent nous porter main forte.
Merci également au département de la Meuse qui participe financièrement à cette action de protection.
Le pôle Centre de soins est venu en renfort pour permettre l’accueil de jeunes en détresse ou permettre l’éclosion d’oeufs de nids moissonnés. Cela fera partie d’un autre article.
Pour le pôle Étude et Conservation,
FB
Pour chaque animal pris en charge, il nous incombe de trouver de l’argent pour la prise en charge dans nos infrastructures, pour les soins et médicaments ainsi que la nourriture. Vous pouvez nous aider par un don, déductible des impôts, via le lien suivant : Adhésions et dons au centre de sauvegarde de la faune en lorraine – CSFL
Ou via notre cagnotte Leetchi : https://www.leetchi.com/c/csfl
Bonjour, nous avons un hibou grand duc dans notre jardin…

Bonjour, nous avons un hibou grand duc dans notre jardin…

Bonjour, nous avons un hibou grand duc dans notre jardin…
Surprise très rare que de se retrouver avec un hibou grand duc au fond de son jardin. Dans ce cas exceptionnel et pour éviter de potentielles graves blessures, nous nous déplaçons pour analyser la situation et capturer l’oiseau. Car le plus grand rapace nocturne d’Europe possède de puissantes serres et il faut avoir le professionnalisme d’Alexandre, responsable capacitaire faune sauvage pour le maîtriser sans risques.
Le rapace a vraisemblablement été victime d’une collision avec une infrastructure humaine car le diagnostic met en évidence une fracture à une aile et une blessure à un œil.
Rapatrié au Centre de soins, ce Hibou Grand Duc va devoir bénéficier de plusieurs semaines de traitements et de rééducation.
A suivre …
Pour chaque animal pris en charge, il nous incombe de trouver de l’argent pour la prise en charge dans nos infrastructures, pour les soins et médicaments ainsi que la nourriture. Vous pouvez nous aider par un don, déductible des impôts, via le lien suivant : Adhésions et dons au centre de sauvegarde de la faune en lorraine – CSFL
Ou via notre cagnotte Leetchi : https://www.leetchi.com/c/csfl
Cagnotte LEETCHI

Cagnotte LEETCHI

Nous ne voulions pas vous sollicitez financièrement jusqu’à présent mais suite à vos encouragements à lancer une cagnotte sur notre précédente publication, nous en avons ouverte une.
Vous pouvez donc nous aider en partageant le lien et/ou en participant à notre cagnotte ou directement sur notre site internet.
Aussi, vous nous demandez comment nous aider autrement, vous pouvez:
– Venir faire du bénévolat (pas de qualification nécessaire, tout est appris sur place au fur et à mesure à partir de 16 ans).
– Relayer nos publications (recherche de bénévoles, de services civiques « 4 sont actuellement recherchés, 2 en médiation faune sauvage et 2 en soins »).
Pour plus d’information, vous pouvez nous contacter par mail à contact@csfl.fr.
Merci d’avance !
L’Équipe du CSFL

https://www.leetchi.com/c/csfl?fbclid=IwAR12khWoCYaN0IRbe_ONBnqTwJTGu36JlIj_En52EsY2YauCDCcvOtU6RLA

Limitation des accueils

Limitation des accueils

Bonjour
C’est avec beaucoup de regret que nous fermons le centre temporairement aux accueils d’animaux. Nous n’avons pas assez de main-d’œuvre, et assez de fonds pour subvenir au besoin de tous les animaux.
Bonne journée
Alexandre Portman responsable capacitaire.
Camp d’animation et de protection du Busard Cendré sur le nord Meusien

Camp d’animation et de protection du Busard Cendré sur le nord Meusien

Camp d’animation et de protection du Busard Cendré sur le nord Meusien
Une équipe de l’association belge De Torenvalk vient nous aider à protéger les nichées de Busard Cendré menacées par le travail des moissons.
Du 1 au 8 juillet 2022, vous pouvez nous retrouver à Spincourt, au lieu dit « le trou du zouave »
Découverte également de la biodiversité du secteur lors des journées de prospection.
Vous êtes intéressé(e) ? Contactez nous par mail : contact@csfl.fr
Nouvelle saison 2022 de protection des nichées de Busard Cendré.

Nouvelle saison 2022 de protection des nichées de Busard Cendré.

Nouvelle saison 2022 de protection des nichées de Busard Cendré.


Ils sont de retour depuis mi avril et ils se sont cantonnés dans des plaines céréalières avec des parcelles d’escourgeon et de blé. Les femelles sont actuellement en train de couver des œufs fraîchement pondus.

Nous allons entreprendre un magnifique travail de terrain en tentant de localiser les nids et entrer en contact avec les agriculteurs pour les protéger des moissons.

Cela vous intéresse, un mail à contact@csfl.fr en laissant vos coordonnées. A suivre

busardcendré #circuspygargus #protectionbusard #biodiversité

Engoulevent d’Europe, un oiseau de nuit

Engoulevent d’Europe, un oiseau de nuit

Engoulevent d’Europe, un oiseau de nuit

En Lorraine, il est rare de le rencontrer. En effet, cet oiseau aux mœurs crépusculaires préfère les régions chaudes et sèches car il se nourrit principalement de papillons et autres insectes nocturnes.

A la manière d’un martinet, il ouvre grand son bec pour attraper ses proies en plein vol.

Il niche à terre dans des parcelles boisées. Il possède un plumage qui permet de bien le camoufler des prédateurs.

Il aime aussi se poser la nuit sur les routes chauffées par le soleil mais aussi pour capturer les insectes attirés par les phares des voitures avec la conséquence de se faire percuter.

Ce mâle a été trouvé blessé suite à une collision.

C’est une espèce connue pour être un prédateur naturel des papillons de la chenille processionnaire.

Le réchauffement climatique lui permettra certainement d’être plus présent dans notre région.

Toute l’équipe de soins se mobilise pour lui apporter les meilleurs soins.

#faunesauvage #engouleventdeurope #centredesoinspourlafaunesauvage

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